cécile ledoyen good living concept

Cécile Ledoyen

Fondatrice de Good Living Concept

Cécile Ledoyen est la fondatrice de Good Living Concept.
Concrètement, elle aide les individus en quête de sens à mieux gérer leur quotidien et leur carrière professionnelle. Pour cela, elle mobilise un outil très puissant qui est la transformation systémique par la Permaculture. En effet, si on connaît principalement la permaculture comme méthode pour transformer les jardins – les rendre plus abondants et plus résilients -, celle-ci peut aussi servir à transformer une maison, un habitat et même un humain, un système humain. C’est un tout nouveau domaine sur lequel seulement quelques cabinets travaillent, aujourd’hui, en France. Son angle d’accroche : « Comment peut-on transformer, aujourd’hui, le logement, pour le rendre plus adapté à notre environnement et plus adapté aux besoins de l’humain, notamment en améliorant cette sphère « santé » ? »Cécile est diplômée de l’École Spéciale des Travaux Publics (ESTP), spécialité « Bâtiments et environnement », à l’époque des débuts du HQE (Haute Qualité Environnementale). Ensuite, après des stages en architecture, dans des bureaux d’étude, elle a choisi de s’orienter vers la maîtrise d’ouvrage. Elle s’est ainsi orienté vers la promotion immobilière privée, est restée 3 ans chez un petit promoteur parisien puis a intégré le groupe Aegide Domitys, leader des résidences services seniors. Elle y a d’abord occupé des fonctions de responsable technique, puis a évolué vers des postes de direction, jusqu’à exercer la direction technique du pôle Est du groupe. Le travail consistait à bien appliquer le cahier des charges conçu pour le bien-être des seniors au quotidien, à la conception duquel elle était associée. Elle a ensuite quitté ce groupe pour créer sa propre structure et aller un peu plus loin dans les recherches liées au bâtiment, mais également à la sphère humaine, à l’humain censé occuper un bâtiment. On pense que le bâtiment va résoudre les problèmes de santé, d’environnement, alors qu’en réalité, il faut partir de l’humain.